Parchemin attaché à celui daté du 19 aout 1778-
“Nous Henry de Herbemont, Chevalier, Seigneur de Charmois, Hennemont, Thonnelalongue, les Sartes et autres lieux et Marie Françoise Claire de Herbemont, Damoiselle Majeure usante et jouissante de ses droits, Dame desdits lieux, reconnaissons et avouons tenir en fief foi et hommage de sa Majesté Louis XVI, Roi de France et de Navarre, Duc de Lorraine et de Bar, notre Souverain Seigneur, la terre et la Seigneurie ddes Sartes, Paroisse de Saint Maurice, ban de Gussainville, mouvante et relevante du dit Seigneur Roi a cause de son Duché de Bar, , Châtel et Châtellenie de’Etain, nous obvenue comme héritiers de Dame Reine de la Fontaine( Epouse deMre Simon de Herbemont, Chevalier Seigneur de Hennemont, Charmois & autres lieux) notre bisaïeule qui était seule héritière de M. Jean Baptiste de la Fontaine auquel appartenait un quart et les trois quarts et demi dans un autre quart, dans laditeb terre des Sartes et comme adjudicataire de moitié et un neuvième en Icelle terre qui appartenoient au Sieur Claude de Fligny pour extinction des sommes que ledit Fligny lui devoit suivant la sentence renduë au Baillage d’Etain le 9 novembre mil sept cent seize. Et consiste notre dite terre et Seigneurie des Sartes, Paroisse de St Maurice en tous droits de hautejustice Moyenne et basse de laquelle meuvent quatre vingt jours tant en terre que hayes er buissons, royés les bois de Darmont et les prés de Hennemont dans les quels il appartient aux héritiers de la demoiselle Antoinette de Fligny quatre jours un quart tant en terre que hayes ou bois suivant la transactionsou seing privé intervenue le 2 mars 1716 entre Dame Reine de la Fontaine( notre bisayeule) et la dite demoiselle Antoinette de Fligny. Il nous appartient en un bois dit et appelé les Cent Arpents Quatrevingt quinze arpents et demi, l’argent de quatre cent verges, la verge de dix pieds, mesure de Bar le dit bois royes les héritiers de la dite demoiselle de Fligny d’une part et les bois de Gussaiville d’autre.
Plus nous appartient douze arpents de bois au Charcholin royer les héritiers de ladite demoiselle de Fligny et les dépendances des Sartes vers Metz.
Laquelle terre et Seigneurie, terre et bois fiefs en dépendant nous avouons tenir en fief foy et hommage de sa Majesté notre souverain Seigneur promettant lui en faire les devoirs et services ainsi que sont tenus et obligés le vassaux du Duché de Bar protestant d’ajouter ci après les biens et droits qui auraient été omis et qui pourraient venir à notre connaissance, en temoin de quoy nous avons signé ce présent dénombrement et scellé du cachet de nos armes a Charmois ce onze may 1780
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Contrôlé à Bar le 30 May 1780 par Magnier qui a reçu ....
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Texte suivi des observations de la Chambre du Conseil et des comptes du Duché de Bar
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